Nous devons être meilleurs et nos sociétés doivent être meilleures
si nous voulons atteindre l’équilibre ensemble.

Nous devons être meilleurs

Meilleurs sont les citoyennes et les citoyens, meilleures sont les sociétés.

En effet, les sociétés n’étant que le résultat de nos actions individuelles, de groupes et collectives, plus nous serons compétents, meilleures seront les sociétés dans lesquelles nous vivrons.

Malheureusement, à l’heure actuelle, j’estime que globalement, notre niveau de compétence moyen se situe entre 15% et 25%. Cela signifie qu’au mieux, nous sommes des « débutants avancés« .

C’est très faible. ☹️

Pour mieux comprendre

Si nous utilisons le hockey comme analogie pour mieux comprendre à quel point notre niveau de compétence global est faible, alors nous savons à peine :

        • comment patiner,
        • comment lancer la rondelle,
        • les règles du jeu.

Parfois, nous tirons sur notre propre gardien de but. 😟 ☹️

Pour être un joueur de hockey compétent, il faut être capable de patiner en avant et en arrière, et ce même en tournant. Le joueur doit également être capable de tirer pour faire de bonnes passes et marquer des buts. Les joueurs doivent connaître les règles et surtout être capables de comprendre quand il est temps d’être à l’offensive ou quand ils doivent se concentrer sur la défense.

Ce niveau de compétence est généralement atteint au niveau Pee Wee.

Une tumeur sociétale maligne

Ce niveau d’ignorance générale est l’un des nombreux cancers qui affligent nos sociétés.

Certains des symptômes associés à ce cancer sont les suivants :

        • La montée actuelle des théories du complot,
        • Le manque de confiance dans nos institutions,
        • Le retrait de l’ensemble du processus électoral.

Ce dernière réduit encore plus notre niveau de connaissances, car nous n’essayons pas d’identifier et de comprendre les problèmes qui affectent nos sociétés.

Nous devons être meilleurs. Nous devons donc augmenter notre Quotient Citoyen de 20% à 60%. Donc de devenir compétent selon le modèle d’acquisition des compétences de Dreyfus et Dreyfus.

Nos sociétés doivent s’améliorer.

Meilleures sont nos sociétés, meilleurs sont les citoyens.

En effet, si nos actions individuelles, de groupe et collectives sont telles qu’elles facilitent :

      • le développement de nos concitoyens ainsi que
      • leur intégration sociale
      • leur intégration sociétale,

alors la plupart de nos besoins individuels et collectifs sont satisfaits, ce qui crée un certain ordre social. Nos sociétés sont alors meilleures et les citoyens qui vivent à l’intérieur de leurs frontières sont plus compétents.

Malheureusement, sur les 195 pays qui font partie des Nations-Unis, seule une poignée d’entre eux ont atteint un certain ordre social équilibre, donc un équilibre.

Les pays qui ont atteint un certain équilibre l’ont fait malgré le niveau d’ignorance général.

Dans ces pays, les citoyens, y compris les politiciens, les dirigeants civiques et les fonctionnaires, ont intuitivement choisi une voie compatible avec une forme d’ordre social. Cependant, même ces pays sont en danger.

En effet, le niveau d’ignorance général affecte négativement notre capacité à prévenir, résoudre ou gérer les divers conflits sociaux et sociétaux.

Lorsque nous essayons de modifier ces outils pour nous aider à mieux répondre à nos besoins individuels et collectifs, nous sous-estimons ou surestimons souvent leurs impacts. Ces changements créent des conflits puisque les citoyens ne peuvent pas répondre à certains ou a plusieurs de leurs besoins individuels, collectifs ou aux deux.

Ce déséquilibre varie d’une société à l’ature, mais au fil du temps, l’évolution / la dévolution de l’ordre et du désordre sociétal se produira à plusieurs reprises. C’est ce qu’on appelle l’effet de balancier.

Dans le gif animé ci-dessus, le temps est accéléré pour nous donner une idée de la manière dont les changements d’orientations économiques, politiques ou morales peuvent affecter nos sociétés en augmentant ou en diminuant le niveau de conflit.

Bien sûr, toutes les sociétés évoluent différemment et la vitesse à laquelle un changement peut se produire peut être très longue, comme quelques siècles, ou très courte, quelques années.

L’attaque du 6 janvier 2021 contre le Capitole nous rappelle que l’ordre social et la démocratie, nécessaires pour créer un ordre social durable, sont fragiles.

Dans ce cas, quelques éléments, à savoir la pandémie, QAnon et un leader charismatique dont l’intuition faisait défaut, ont influencé le processus.

Que pouvons-nous faire pour arrêter cet effet de balancier ?

Heureusement, nous avons maintenant accès à une nouvelle science de gestion, appelée SOCIÉTALogie, qui peut nous aider à diminuer drastiquement cet effet de balancier.

Cette nouvelle science étudie les sociétés en tant qu’organisations et la citoyenneté en tant que profession. En étudiant à la fois le rôle des citoyens, donc la citoyenneté, et la façon dont ils s’organisent, donc les sociétés, il est possible d’aligner à la fois la gouvernance de nos sociétés et notre éthique citoyenne par le biais de meilleures pratiques. (Voir image)

La SOCIÉTALogie nous fournit également des modèles scientifiques indispensables que nous pouvons enfin utiliser pour nous aider à mieux gérer nos sociétés et devenir des citoyens plus compétents.

SOCIÉTALogiquement parlant :

    • une bonne société est une société équilibrée, une société où la plupart de nos actions individuelles, de groupe et collectives nous aident à satisfaire la grande majorité de nos besoins individuels et collectifs et où les connaissances et les croyances que nous utilisons pour créer les lois, les règles et les règlements ainsi que les coutumes et les habitudes, nous aident à atteindre et à maintenir un ordre social durable. Lorsque cela est réalisé, nous vivons donc dans une société équilibrée.
    • Un bon citoyen est un citoyen compétent, celui qui a acquis les connaissances personnelles, sociales et sociétales nécessaires et qui a développé les compétences associées. Plus les citoyens sont compétents, plus ils prennent des décisions qui sont positives pour :
      • leur santé physique, psychologique, mentale, sociale, financière, etc.
      • leurs interrelations et interactions
      • le fonctionnement et le développement de leurs gouvernements et de leurs sociétés.

Plus nous nous rapprocherons de ces modèles idéaux,

    • plus notre ordre social sera durable et
    • moins nous souffrirons de l‘effet de balancier.

Pour initier le processus.

Pour nous aider à devenir de meilleurs citoyens et à améliorer nos sociétés, je fais le prélancement de la toute première communauté de pratique (CdP) pour les citoyens (CdPc).

Une CdP est un outil de gestion des connaissances qu’utilisent les professionnels pour les aider à

        • partager de nouvelles connaissances,
        • identifier les meilleures pratiques,
        • résoudre des problèmes et
        • trouver des solutions novatrices.

Le tout leur permet de devenir de meilleurs professionnels, ce qui a un impact positif sur la perception que la société a de cette profession. Cela permet d’assurer la relève, car cette notoriété attire plus de jeunes.

Enfin, plus les professionnels sont compétents, plus les organisations qui les embauchent deviennent plus efficaces, ce qui augmente leur propre notoriété.

L’objectif de la CoPc est donc d’aider les citoyens à devenir plus compétents, d’augmenter la perception globale que les citoyens ont d’eux-mêmes et de faire de leurs sociétés des sociétés équilibrées.

La CdPc sera lancé en deux étapes : le prélancement et le lancement officiel.

Pour initier le processus.

Pour nous aider à devenir de meilleurs citoyens et à améliorer nos sociétés, je fais le prélancement de la toute première communauté de pratique (CdP) pour les citoyens (CoPc).

Une CdP est un outil de gestion des connaissances qu’utilisent les professionnels pour les aider à partager de nouvelles connaissances, identifier les meilleures pratiques, résoudre des problèmes et trouver des solutions novatrices.

Le tout leur permet de devenir de meilleurs professionnels, ce qui a un impact positif sur la perception que la société a de cette profession. Cela permet d’assurer la relève, car cette notoriété attire plus de jeunes.

Enfin, plus les professionnels sont compétents, plus les organisations qui les embauchent deviennent plus efficaces, ce qui augmente leur propre notoriété.

L’objectif de la CoPc est donc d’aider les citoyens à devenir plus compétents, d’augmenter la perception globale que les citoyens ont d’eux-mêmes et de faire de leurs sociétés des sociétés équilibrées.

Prélancement

Au cours de cette période initiale, nous examinerons les différents cancers qui affectent nos sociétés. Ils seront présentés dans l’ordre suivant et concernent:

Notre faible niveau de connaissances: qu’est-ce qui cause ce niveau d’ignorance et que pouvons-nous faire ?
Nos processus électoraux : qu’est-ce qui ne va pas et que pouvons-nous faire ?
Notre liberté d’expression : Avons-nous trop de liberté ?

Les premières discussions concernent notre cancer le plus dévastateur : notre niveau d’ignorance générale qui est au cœur de notre faible quotient citoyen. Nous examinerons les causes de cette ignorance et identifierons les solutions possibles.

Le deuxième sujet concerne l’un des cancers le plus dévastateurs : nos processus électoraux. Les problèmes qui affectent nos processus électoraux sont nombreux. Nous devons donc avoir une discussion sur ce sujet.

Enfin, notre troisième dialogue concerne notre sacro-sainte liberté d’expression. Oui, nous devrions pouvoir parler de n’importe quel sujet, mais devrions-nous avoir des lois qui régissent la manière dont nous l’utilisons ?

Après ces discussions, je rendrai progressivement publics les sujets suivants.

        • La guerre et la paix
        • La haine contre les gouvernements
        • La discrimination
        • La suraccumulation

Une fois que tous ces sujets auront été rendus publics, alors nous aurons un lancement officiel.

Lancement officiel

L’objectif de la CdPc de Citoyens & Sociétés  est de nous aider à identifier et à mettre en œuvre les diverses meilleures pratiques sociétales qui nous aideront à créer et à maintenir un ordre social durable. Ces changements réduiront drastiquement l’effet de balancier et nous permettrons de mieux répondre autant à nos besoins individuels que collectifs.

Pour nous aider à transformer nos sociétés en sociétés équilibrées, je vais suivre les étapes suivantes :

Je vais premièrement expliquer comment les connaissances et les croyances que nous décidons de transformer en lois, règles et règlements, ainsi qu’en coutumes et en habitudes,

        • affectent positivement ou négativement notre ordre social,
        • facilitent ou entravent notre liberté,

qui affectent tous deux notre indice de liberté.

Deuxièmement, j’expliquerai le rôle de nos assemblées législatives et comment nos processus électoraux doivent être conçus pour optimiser le fonctionnement et le développement de nos conseils d’administration, donc de nos assemblées législatives et de nos gouvernements.

Enfin, j’examinerai les différents départements que nous créons et verrai les changements que nous devrions proposer pour que tous ces départements soient compatibles avec le développement d’une société équilibrée.

Vous voulez participer à cette nouvelle initiative innovatrice ?

Joignez-vous ici.

Au plaisir de vous y voir

Sociétalement vôtre

Denis Pageau
Citoyens & Sociétés
Gestionnaire en chef des connaissances (GCC)
Facilitateur principal (FP)

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